Apres Pourquoi donner ? et que apporter ? voici le dernier point, ainsi, c’est la que ca se complique…
Pourquoi ne pas apporter ?
Si on ne donne pas, parfois c’est qu’on ne peut nullement alors qu’on voudrait, ainsi, parfois c’est parce qu’on ne veut gui?re. J’aimerais tres seulement et sans provocation mettre concernant la table mes cas de conscience, pour avoir des eclairages d’autres personnes sur des questions qui me turlupinent et pour lesquelles je n’arrive gui?re a me decider.
Mais d’abord un petit commentaire concernant ces cas ou l’on voudrait apporter et ou l’on ne peut nullement.
Hier on voit eu diverses commentaires sur le don de sang impossible, Afin de contrindication (il y en a bon nombre, pour la marketing des receveurs comme pour celle des donneurs) puis a cause de la peur… La frustration est en mesure de etre grosse Lorsque l’on n’a nullement nullement le droit. Je me mets a le poste d’un homme homosexuel en couple stable de des annees, difficile de ne pas se sentir discrimine ; j’en ai discute avec votre medecin homosexuel qui m’a explique pourquoi d’un angle d’approche epidemiologique on peut saisir ce critere par principe de precaution, mais ca doit etre les boules quand meme…
Et Lorsque l’on a peur, on se sent coupable de ne pas y arriver. Mais i mon sens, la peur fait part des bonnes raisons, Il existe tant de choses qu’on aimerait Realiser pour apporter auxquelles on renonce Afin de des tas de raisons, d’abord parce qu’on ne dispose pas de ce qu’on voudrait donner – jamais assez de temps libre, nullement assez d’argent… Et y n’y a pas a s’en vouloir Afin de ca ! Pour donner le sang, il faut d’un sang (sans blague !) puis un peu de temps libre, une bonne sante et la capacite a supporter la piqure et la vue de plein de tuyaux et de poches bien rouges. S’il manque un des points, ce ne sera nullement pour une telle fois. Et peut-etre que les choses changeront.
A une epoque ou je n’avais nullement du tout la force pour le benevolat car je travaillais a plein temps libre, je m’en voulais de ne pas aider. Ma mere m’a evoque : ton article aussi aide les mecs (j’etais du cote operationnel une construction du cadre de vie a l’epoque, donc un petit rouage pour que les gens se sentent beaucoup dans leur ville, en gros), et votre n’est nullement necessaire de t’epuiser a faire plus aussi que tu as besoin de te menager Afin de pouvoir continuer dans votre voie. J’ai trouve tres juste cette option, on fera tel on va pouvoir selon les situations, et prendre soin sans dire est important pour pouvoir affirmer a toutes les autres.
[Comme je l’ai devoile hier dans un commentaire, ils n’ont gui?re pu me prendre de plaquettes parce que le asthme est en gali?re soigne. Au sens le plus premier du terme, charite bien ordonnee commence aussi avec soi-meme]Du coup, si on ne va gui?re investir un domaine d’la solidarite, on peut chercher ailleurs comment aider, ainsi, bien attirer l’attention via le souci – je renvoie a mon billet sur la parole, meme quand on n’est gui?re soi-meme frappe par quelque chose qui nous pointe, augmenter l’awareness du monde dessus participe a remplacer les choses. Si vous ne pouvez pas donner ce sang, soyez ambassadeurs du don !
Maintenant, le gros morceau : si l’on n’est pas sur de vouloir donner…
Je ne vais gui?re (trop) m’etendre dans mes atermoiements a chaque fois qu’on me sollicite dans le metro, c’est quelquefois un creve-c?ur de ne pas donner, mais je ne crois nullement i?tre capable de apporter a tout un chacun, et depuis des petites idees un peu moches qui me passent par la tronche (« oui mais elle, elle fait semblant de boiter, j’en suis sure », « il va peut-etre s’en servir pour acheter d’une picole », et « je paie des impots Afin de organiser un systeme de solidarite publique, je ne peux pas bien faire non plus »). Apres je m’en souhaite, qui suis-je pour juger qu’untel est meritant et qu’unetelle reste une simulatrice ? Surtout quand ca va Realiser la difference entre votre ventre rassasie ou vide ce apri?m. Je m’interroge beaucoup la-dessus, c’est tres politique comme question mais si vous avez une position construite sur ce thi?me ca m’interesserait de la connaitre pour avancer dans ce questionnement…
L’autre grande question qui me tracasse, c’est le don de gametes. J’habite vraiment sensible a la situation des couples infertiles et a leur souffrance, donc quand j’etais moins i?ge ca me paraissait une evidence que je donnerais mes ovocytes apri?s. Mais maintenant que notre propre projet de maternite se precise vraiment, je m’interroge : comment pourrais-je vivre avec l’idee que peut-etre un enfant avec la moitie de mes genes vit quelque part ? Et si mon mari donnait, qu’est-ce que ca me ferait de affirmer que le patrimoine reste dans l’enfant de quelqu’un d’autre ?
datingmentor.org/fr/alua-review
J’me dis que si je vois les choses comme ca, sans reussir a ne point voir dans le fruit d’un don l’enfant biologique du donneur, c’est signe que je ne suis gui?re prete a donner. Parce que le sujet se pose pour moi, et pour cet enfant qui se demandera en general un jour quelle reste l’origine du coup de pouce… Je ne sais meme nullement ou en est la loi aujourd’hui via l’anonymat, ca me parait crucial afin que des gens acceptent de donner mais n’est-ce jamais une souffrance qui s’impose pour ces bambins ?
J’aimerais tellement aider, mais c’est un tantinet comme la peur des aiguilles, ca coince dans la tronche. Neanmoins, je ne demande qu’a etre convaincue, alors si vous avez des temoignages de donneur/euse, de couple receveur ou d’enfant nes grace a 1 don, je suis reellement preneuse. D’autant que si pourquoi pas ma s?ur me demandait de participer a 1 don croise, je suis sure que je n’hesiterais gui?re une seconde, aussi n’hesitez gui?re a me donner vos avis et temoignages !